vendredi 22 janvier 2016

Le viol, c'est maintenant. - La gauche, ou la politique de l'autruche sodomisée.

Brunhilde protégée des réfugiés par son père

Dans le temps, les Allemands savaient protéger leurs filles...


"C'est une des formes les plus certaines d'une prochaine auto-destruction que cette complaisance à aimer sa perte qui caractérise les démocraties." (P. Morand, 1957)


"2016, année d'une plus grande lucidité et d'une plus grande humilité ?", demandais-je dans mon dernier texte de 2015. Il faut commencer par admettre que les autres, eux, ont au moins l'humilité de se battre pour, ou simplement de croire en quelque chose de plus grand qu'eux. Ils acceptent l'idée de ne pas voir de leurs propres yeux l'hypothétique victoire. Cela fait plus de 2000 ans que les Juifs, pour prendre l'exemple canonique, ne voient pas la victoire, cela ne les empêche pas d'y croire. - A tort j'espère, mais là n'est pas la question du jour. Il est plus aisé pour certains, manifestement, d'accepter la défaite que de se résoudre à ne pas être présent au moment de la victoire. Au point même semble-t-il de préférer la défaite immédiate à l'éventuelle victoire ultérieure. "Nous avons perdu une bataille, donc nous avons perdu la guerre", disent finalement ceux-là mêmes qui n'ont jamais assez de mépris pour les « munichois » ou les « collabos ». "Les attentats du 13 novembre ne sont que les premiers, il faudra s'y habituer." - Pourquoi cela ? Toutes les capitales du monde occidental ont-elles été victimes d'attentats réussis récemment ? Après le 11 septembre, les États-Unis ont-ils subi d'autres attaques meurtrières sur leur sol ? Les attentats seraient un phénomène naturel plus fatal que le réchauffement climatique ? C'est ce que l'on sous-entend par le lieu commun : "Nous entrons dans un cycle d'attentats, de guerre civile, de violence, etc.", un peu comme "une phase de perturbations pluvieuses va traverser la France d'Ouest en Est", couvrons-nous et attendons donc que cela passe.

Il est bien clair que de nouveaux attentats meurtriers peuvent avoir lieu à tout moment, là n'est pas la question, qui est celle de l'état d'esprit que ce genre de remarques révèle. Du réalisme revendiqué je crois qu'en effet on passe ainsi subrepticement à un fatalisme empreint de peur, et surtout de peur de s'exposer, de peur d'agir. J'irais même, intuitivement et sans preuves certes, jusqu'à prétendre que si l'on n'assiste pas en France à de réels mouvements populaires de masse - hormis manifestations d'un jour commanditées par l'État -, cela vient d'une peur diffuse que ces mouvements ne réussissent, c'est-à-dire ne débouchent sur quelque chose. Ce n'est pas pourtant que le pouvoir en France soit bien solide, ni que les policiers et militaires mettraient beaucoup d'entrain à le défendre ! - Déjà, en 68 - je tire ce récit d'un livre de J. Baynac, peut-être Mai retrouvé, je ne suis pas sûr -, lors d'une des premières grandes manifestations, les jeunes passèrent devant l'Assemblée nationale sans avoir, Baynac dixit, la moindre idée de s'en approcher ou de la menacer, parce que c'était pour eux hors sujet. La peur plus ou moins consciente des responsabilités chez des jeunes - et au premier chef ces jeunes-là, la génération du baby-boom, si supérieurs (en nombre) à leurs aînés - est certes humaine, mais ce refus inaugural peu explicité d'aller quelque part de précis en disait déjà assez long sur les perspectives de cette génération, dont il faut se demander si elle ne fut l'une des plus grégaires de l'histoire : allons n'importe où, mais allons-y ensemble…

N'importe où, nous y sommes. Les descendants des baby-boomers n'ont pas hérité l'enthousiasme de leurs parents, mais ils ont gardé d'eux cette sévérité profondément conservatrice à l'égard de tous les mouvements populaires actuels, qui ne valent pas, c'est bien connu, ceux du passé. C'est toujours trop beauf, trop populacier, pas assez pur théoriquement ou pas assez mélangé ethniquement, etc. - Pas de chance, donc, les autres, d'ici et d'ailleurs, n'ont pas ce même purisme théorique, ni cette crainte à la fois de l'échec et de la réussite qui est le meilleur allié du petit Valls.


- Valls : permettons-nous une parenthèse. Il faut une mauvaise foi de politicien professionnel et une haine démesurée de tout respect de la vérité, lorsque l'on appartient à un parti qui depuis trente ans crée méthodiquement en France les conditions d'une potentielle guerre civile, et qui continue à le faire, pour accuser les électeurs du Front national de vouloir la guerre civile. Le pyromane reproche aux brûlés de crier et de chercher de l'eau ! Mutatis mutandis, cela évoque les accusations de connivence avec l'Allemand portées après-guerre contre Maurras par des gens qui avaient été sourds à ses avertissements d'avant-guerre, qui ne l'avaient pas écouté lorsqu'il demandait des actions pour contrer la puissance de Hitler tant qu'elle était inférieure à la nôtre. Ce n'est pas qu'il n'y ait rien à redire concernant l'attitude de Maurras sous Vichy, ni bien sûr rien à redire concernant le Front national, mais ce genre de tactique, c'est de quoi dégueuler, vraiment - comme disait Léo.


Ceci étant dit, élargissons les perspectives. Admettons que nous soyons effectivement au début d'un cycle de longue durée et que l'Occident se soit résigné à laisser la place. L'Occident étant ici à entendre dans ce sens : l'Europe de l'Ouest et, peut-être, les États-Unis compris entre les deux côtes, si j'ose m'exprimer ainsi, les Juifs des networks de la Côte Est, comme ceux de Hollywood et du transhumanisme dictatorial en préparation dans la Silicon Valley, n'étant, eux, pas du tout en train de laisser la place. - Admettons donc cette idée, dont je ne dis pas qu'elle me convainque pleinement, mais dont il faut bien admettre qu'elle peut être soutenue par de nombreux arguments : faible natalité depuis longtemps, vitalité artistique proche du zéro, peur d'agir, culpabilité et haine de soi, incapacité à se protéger des invasions extérieures, parfois même encouragées au prétexte que les nouveaux arrivants sont différents : s'il suffit d'être différent pour être mieux, cela en dit long sur l'estime que l'on porte à soi-même… - Si un nouveau cycle commence, qui n'est pas le nôtre, s'il n'y a déjà plus rien à faire, il n'est pas, ou pas encore, interdit de réfléchir et de se demander à quoi nous laissons la place.

"Presque tous les peuples haïssent le reste du monde ; le seul peuple français l'aime assez pour vouloir lui communiquer ses propres maux", écrivait en 1934 Robert Poulet (qui était belge). La boutade est délectable et toujours actuelle, mais cela n'empêche pas les étrangers de nous communiquer aussi leurs maux : que l'on ajoute à cela la vieille tendance des démocraties à se déprécier, ainsi que le déplorait Morand - vieille tendance qui en dit long sur l'état d'esprit réel des citoyens d'un régime qui est censé être meilleur que les autres… -, on comprend pourquoi nous sommes aussi accueillants envers l'Islam, les migrants, tout ce qui vient des États-Unis, etc. Et c'est probablement un mélange de tout cela (fast-foods hallal et non hallal), chapeauté par une dictature financière à prolongements transhumanistes - le corps de l'homme ne rapporte pas encore autant qu'il le devrait -, que nos seigneurs et maîtres ont en tête. Une France balkanisée et divisée, où il y aurait assez de loisirs peu chers d'un côté, de moyens de contrôle de l'autre, pour que tout le monde, sur fond de guerre civile larvée - A. Badiou parlait quelque part des États-Unis comme d'une "guerre civile permanente", c'est ce qui s'installe chez nous, gangs et dealers jouant ici, toutes choses égales d'ailleurs, le rôle des « jaunes » et des briseurs de grève du passé -, pour que tout le monde reste chez soi, salarié ou chômeur - l'esclave salarié et l'esclave chômeur assisté se ressemblent de plus en plus, à tous les niveaux -, avec autant de désir pour la nouveauté pondue par le système, qui sera toujours un moyen d'asservissement supplémentaire, que de peur de tout changement. - Le changement, c'est plus maintenant, le changement, c'est plus jamais.

Petite parenthèse - j'écris au moment du sommet (de surréalisme) de Davos : il est assez plaisant d'entendre des gens dire pis que pendre - et avec raison - de quelque chose d'aussi dégueulasse que cette réunion des représentants des 1% plus riches de la planète pour décider comment prendre encore plus d'argent à tous les autres, à tous les pauvres ("C'est l'ensemble des pauvres, dans tous les pays, qui détient les plus immenses richesses. On ne peut rien faire d'un peu grand sans les pauvres.", R. Poulet encore), il est plaisant disais-je d'entendre ces gens vous parler ensuite du réchauffement de la planète, des malheureux « réfugiés » (enfin, oui et non, depuis Cologne les féministes évitent le sujet - j'y reviendrai peut-être…), du conservatisme de l'odieux Poutine, etc., le tout en envoyant des SMS depuis un smartphone qui les espionne en permanence (en attendant de pouvoir se payer le modèle qui les espionnera encore mieux). Avec des ennemis comme cela, qui approuvent et financent les moyens idéologiques et matériels de leur propre asservissement, Davos n'a pas besoin d'amis.

(La vérité si je mens ! Écrivant ces lignes dans un pub qui diffuse l'inénarrable chaîne d' « information » continue BBC World News, je vois s'afficher un titre selon lequel, à Davos justement, le premier ministre israélien demande un plus grand contrôle de l'internet, une plus grande "cybersecurity". Sans commentaire !)


- L'avenir, je ne le connais pas. Je sais bien par ailleurs que je m'adresse à un public fort restreint (quoique les statistiques de mon blog semblent indiquer que j'ai quelques lecteurs en Russie, ce qui évidemment me ravit). Je m'efforce simplement d'essayer de convaincre mes lecteurs, comme je m'y efforce avec mes proches et les gens avec qui je parle, que si l'on peut porter de nombreuses critiques justifiées à l'égard de la civilisation qui est encore la nôtre, il serait pour le moins téméraire, dangereux et masochiste, de le faire sans se demander ce qui à l'heure actuelle a le plus de chances de la remplacer. Mais il est de fait que la simple idée de « ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain » - ou de « trier le bon grain de l'ivraie » - est accueillie par certains, quand je n'y mets pas la décontraction et l'humour semble-t-il nécessaires, comme une forme de sourde volonté discriminatoire.

Je ne parviens pas, d'un strict point de vue logique, à comprendre ce tour d'esprit - et encore une fois, de la part de gens intelligents -, qui consiste à penser que les autres, notamment musulmans, vont forcément rejoindre notre mode de vie et de pensée - qui donc est supposé être le meilleur, de façon évidente, manifeste -, tout en ne supportant pas le moindre éloge à l'égard du passé de notre civilisation (lequel doit pourtant être un peu pour quelque chose dans notre merveilleux modèle), ni la moindre critique explicite à l'égard du mode de vie ou de pensée de ces autres, qui doivent pourtant détester ce mode de vie, puisqu'ils sont censés vouloir avoir le nôtre... - Tant pis ! Si je suis parfois las ou déprimé, je ne suis pas dépressif ni névrosé. Ce qui se fait rare, les amis, ce qui se fait rare !


Brunhilde et le crépuscule des blancs

Comment l'esprit-il vient aux femmes ?

jeudi 14 janvier 2016

Au Bonnard du jour... (IV) Dieu et mon anarchisme. L'espoir fait vivre, l'optimisme tue.

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Une des rares photographies acceptables lorsque l'on tape sur Hitler-Google (images) : "L'idée du bien" - et on la trouve sur un article qui suggère vaguement que Humphrey, tout en se tapant mille femmes au cours de sa vie, aurait été effrayé par son homosexualité. 1000, oui, il y a de quoi avoir peur.


(Ajout d'un P.-S. le soir.)


Pendant la rédaction d'un essai que certains trouveront peut-être « pessimiste », « noir » ou même « décliniste », je tombe sur un beau texte d'Abel Bonnard, dans lequel il fait un sort à ce que l'on appelle l'optimisme. En voici l'essentiel. Le gouvernement dont il est question dans les premières lignes est probablement le Cartel des gauches, j'ignore si A. B. fait allusion à un épisode précis, à la volonté d'un ministre du cartel de s'attaquer à un membre de l'Institut, ce qui ne serait certes pas sans rappeler les penchants autoritaires du petit merdeux Valls, ou s'il s'agit d'une forme d'allégorie.

"Le moment où un gouvernement privé de sang-froid veut forcer une confiance qu'il n'a pas su obtenir, et où il poursuit jusque dans l'Institut l'expression indépendante d'une opinion autorisée, n'est sans doute pas mal choisi pour faire quelque réflexion sur ce qu'on appelle l'optimisme. Les louanges enflées qu'on fait si souvent de cette prétendue vertu ne sont pas d'un bon signe pour la valeur générale des esprits. La plupart de nos contemporains, parmi ceux mêmes qui se piquent d'avoir une vie intellectuelle, deviennent de moins en moins capables de supporter le dur climat, l'hiver rigoureux et sublime de la pensée. C'est là une nouveauté dans notre pays. L'immortel honneur de la France, c'est qu'on a toujours voulu y voir clair. La littérature française du XVIIe siècle n'aurait pas gardé le prix qu'elle a pour tout homme qui pense, si, au lieu des vues les plus pénétrantes, des observations les plus sévères, elle était remplie de faciles fanfares sur la bonté de l'homme et la certitude du progrès. L'optimisme, il est vrai, se fait jour dans les livres du siècle suivant, mais, même alors, où trouver plus de défiance de l'être humain, plus de sarcasmes de sa nature et de son destin que dans Voltaire ? L'optimisme triomphe chez les principaux romantiques, mais son triomphe ne se marque que par une confusion de la sensibilité et du raisonnement où le coeur et l'esprit perdent tous deux leur noblesse. Il n'y a pas de place pour l'optimisme sur les sommets de l'esprit. Est-ce Eschyle, est-ce Sophocle, est-ce Dante, est-ce Shakespeare ou Cervantès qu'on trouvera optimistes ? A ces hauteurs règne seul le désir de connaître et de savoir, sans aucun égard pour ce que cette connaissance pourra avoir ensuite d'agréable ou de douloureux. C'est cette héroïque passion du vrai, la plus noble qu'un homme puisse nourrir, que ceux qui ne sont pas capables de l'éprouver calomnient en l'appelant « pessimisme ».

Mais, dira-t-on, l'optimisme est nécessaire pour l'action. Cela est juste ; encore faut-il s'entendre. Sans doute, on ne peut agir sans confiance et sans espérance. Mais cette confiance et cette espérance, bien loin de brouiller notre vue des choses, doivent succéder à la connaissance que nous en avons prise, au lieu de se mêler à elle, et c'est précisément le propre des hommes bien trempés et faits pour l'action, que rien ne les excite autant à intervenir que la grandeur des difficultés qu'ils ont à vaincre. L'idée profonde de l'optimisme moderne, au contraire, si tant est qu'on puisse parler de profondeur en un pareil cas, c'est d'espérer que, grâce à une certaine chaleur de sentiments, on pourra triompher de difficultés qu'on n'a pas su mesurer. Il suffit de tirer au clair cette prétention pour en juger la valeur. L'optimisme des politiciens, en particulier, n'est pas autre chose que ce refus de connaître une réalité qui les gêne. Ils sont optimistes avant tout, afin de ne pas faire l'aveu de leurs fautes. Il va sans dire que la réalité se venge bientôt. L'erreur d'un temps qui se plaît à tout brouiller, c'est de vouloir mêler l'optimisme avec le conseil, c'est de faire de l'optimisme une preuve de courage et un gage de succès, alors qu'il est précisément le contraire. (…) Le pilote qui dirait qu'il n'y a plus à se soucier des brisants, et qu'il suffit de ne pas prévoir les tempêtes pour y échapper, on devine comment son bateau finirait." ("Réflexions sur l'optimisme", Le Solitaire du Toit, Société du Livre d'Art, 1928, pp. 41-45). Son bateau ne serait pas seulement battu par les flots, par les djihadistes et, bientôt, les migrants-braqueurs-violeurs musulmans que Soeur Anne Hidalgo ne voit pas venir, mais sombrerait, et nous avec.

C'est d'ailleurs, poursuivons dans ce genre de métaphores, d'autant plus grave dans certains cas de se montrer (ou le déclarer) d'un « irréductible » ou d'un « incurable » optimisme - incurable, c'est bien le mot, comme une maladie -, que les optimistes, a fortiori s'il s'agit de politiciens, qui n'ont pas moins de responsabilités sous le prétexte qu'ils se refusent à les assumer, sont comme de mauvais conducteurs sur un autoroute : leur imprudence peut être fatale aux conducteurs raisonnables et attentifs. Comme j'ai décidé, parmi d'autres résolutions pour 2016, de faire court, je m'arrête là dans mes raisonnements et comparaisons, non sans vous gratifier d'une nouvelle salve anarchisante ("L'anarchie, c'est l'ordre") de Bonnard :

"Aimer la réalité, c'est la plus saine et la plus noble des passions de l'intelligence, et nul ne peut vraiment la changer selon ses désirs, qui n'a pas commencé par l'aimer telle qu'elle est. Cependant il est plus d'esprits qu'on ne croit qui répugnent à lui déférer, et même à la regarder en face. Ils déguisent leur aversion comme ils peuvent, et cet amour de la justice jaloux et absolu dont se targuent tant de gens ne sert souvent qu'à couvrir la haine du monde et l'envie de le détruire. (…) Quant au personnel politique, son cas est particulier. Il semble que sa fonction même soit d'étudier le réel avant tout le monde. Mais il est, en fait, le dernier à l'apercevoir. Ceux qui le composent vivent dans un monde fermé, sur des conventions, des fictions, des partis pris. Leurs intérêts, leurs habitudes, leur rhétorique même les séparent des choses. Ils parlent sans cesse de progrès, parce que c'est le mot dont ils vivent : mais ils sont essentiellement des retardataires." (pp. 6-7)

Le progressisme est une forme de mépris, non seulement du réel, mais des classes populaires. C'est une des raisons pour lesquelles l'homme politique de gauche a du dictateur en lui. - J'espère revenir bientôt vous combler de sentences et de citations sur ce sujet et sur d'autres, mais les vieux habitués savent qu'entre ce que j'annonce et ce que je fais, il y a du jeu...


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Résultat cette fois de la recherche, un rien perverse j'admets : "L'idée du bien lesbienne" - un type qui faisait shabbat, la vérité si je mens, a mis en ligne cette image d'une des femmes de ma vie. Pour le meilleur et pour le pire, les femmes crient, et Marnie parmi elles.


P.S. Dans ce qui précède se trouve un lien vers une lettre ouverte signée par les Fils de France de Camel Bechikh, à l'attention d'Alain Minc, lequel se targue de faire preuve d'un « irréductible optimisme ». Difficile de ne pas repenser à l'ignoble Minc en lisant ce jour dans Le Solitaire du Toit cette sentence de Bonnard :

"L'optimiste est non pas toujours, mais souvent, un homme qui supporte avec courage les malheurs des autres. Il met un panache à son égoïsme ; il déguise en générosité son insouciance." (p. 113)


A bientôt !