La démocratie selon Télérama.
Je ne perdrai pas de temps à commenter l'éditorial du maffieux Jézégabel, nous expliquant en gros que le "non" a déjà perdu, juste quelques chiffres :
- six lettres de lecteurs, toutes sur le référendum. Deux partisans du non, contents, trois partisans du oui, mécontents, un partisan du non, qui regrette déjà.
- six interviews d'"intellectuels" européens : cinq partisans du oui, un partisan du non.
Cela se passe de commentaires. On rappellera qu'avant le rééquilibrage de fin de campagne, les grands media, tous partisans du oui, avaient justifié le peu de place qu'ils accordaient au non par le fait que la majorité des partis politiques français, supposément représentatifs, s'étaient prononcés pour le oui. Maintenant que le non l'a emporté, "haut la main" et "démocratiquement", comme le dit M. Jézégabel avec une nuance de regret pour le moins évidente, il semblerait logique que... Mais non. Les passions sont, croit-on, retombées, le CSA ne demande plus rien. On repart pour un tour !
- six lettres de lecteurs, toutes sur le référendum. Deux partisans du non, contents, trois partisans du oui, mécontents, un partisan du non, qui regrette déjà.
- six interviews d'"intellectuels" européens : cinq partisans du oui, un partisan du non.
Cela se passe de commentaires. On rappellera qu'avant le rééquilibrage de fin de campagne, les grands media, tous partisans du oui, avaient justifié le peu de place qu'ils accordaient au non par le fait que la majorité des partis politiques français, supposément représentatifs, s'étaient prononcés pour le oui. Maintenant que le non l'a emporté, "haut la main" et "démocratiquement", comme le dit M. Jézégabel avec une nuance de regret pour le moins évidente, il semblerait logique que... Mais non. Les passions sont, croit-on, retombées, le CSA ne demande plus rien. On repart pour un tour !
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