Après 847 pp. de lecture du dernier livre de M.-É. Nabe,
mon subconscient me demande expressément de le citer : "Tout me dégoûte dans ce livre ! Tout ! Ce monde, Moix, Blanrue, les Arabes, Dieudonné, Laïbi, les Israéliens, Soral, l'auteur, ses stratégies littéraires, tout !"
Dans un second temps, répliquerai-je audit subconscient, il faut faire le tri entre le dégoût et la déception. On peut guère être déçu par Y. Moix. Et le dégoût ressenti envers l'auteur/narrateur/personnage ou envers A. Soral n'est pas le tout du jugement que je peux porter sur eux. Et de plus, cher subconscient, tu as bien aimé tout de même la petite tunisienne qui couche avec l'auteur tout en se prenant des coups dans la gueule à la place de MM. Soral et Dieudonné.
Certes, admet le subconscient. Mais ce livre pue quand même la merde. - Et là, ma foi, je n'ai rien à objecter.
Dans un second temps, répliquerai-je audit subconscient, il faut faire le tri entre le dégoût et la déception. On peut guère être déçu par Y. Moix. Et le dégoût ressenti envers l'auteur/narrateur/personnage ou envers A. Soral n'est pas le tout du jugement que je peux porter sur eux. Et de plus, cher subconscient, tu as bien aimé tout de même la petite tunisienne qui couche avec l'auteur tout en se prenant des coups dans la gueule à la place de MM. Soral et Dieudonné.
Certes, admet le subconscient. Mais ce livre pue quand même la merde. - Et là, ma foi, je n'ai rien à objecter.
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