vendredi 27 avril 2018

Léger.






















(Photo trouvée sur twitter, sans rapport avec le sujet). 


Je lis avec plaisir et intérêt le livre de souvenirs de Michel Mourlet, Une vie en liberté. Un petit extrait pour ce soir : 

"Si Gripari n’avait pas écrit ses contes pour enfants, il serait probablement mort de faim, victime de l’ostracisme tueur de talents qui restera dans notre histoire culturelle du XXe siècle la tache indélébile de la gauche, suivie d’ailleurs par toute la partie obéissante et déculturée de la droite."

(Je n’ai jamais lu Gripari, mais ce n’est pas le problème.) 

Une autre, pour rigoler, Dino Risi parlant d’Antonioni : "Un con, avec des éclairs d’imbécilité." A recycler pour évoquer les gens que vous n’aimez pas.