Vous me réciterez 5 Mater… L'obscurantisme, c'est maintenant.

"À partir d'aujourd'hui, tout scientifique saura qu'il doit s'assurer que tous ses déclarations, travaux et recherches sont approuvés par les féministes. Toute recherche portant sur des questions sociales contemporaines, et notamment celles liées au statut de la femme (mais aussi à la race, la religion et d'autres questions brûlantes), devra désormais confirmer les orthodoxies idéologiques de notre époque. À savoir : il n'y a pas de différence d'intérêts et d'aptitudes entre les populations ou les groupes, et toute inégalité de résultat est forcément la conséquence d'injustices généralisées et des discriminations que subissent les groupes sous-représentés. Même lorsqu'il existe des données factuelles démontrant que ces injustices et ces discriminations n'existent pas (voire que c'est en réalité le “groupe opprimé” qui est avantagé)."

Peggy Sastre, ici (https://www.lepoint.fr/invites-du-point/peggy-sastre-quand-des-feministes-harcelent-des-scientifiques-14-03-2019-2300980_420.php). Je n’ai pas vérifié la véracité des faits cités, je transmets de confiance. 

Il faudrait s’interroger sur les rapports entre féminisme et obscurantisme à travers les âges.

 - vues les manoeuvres déloyales décrites dans l'article de P. Sastre, si j'étais quelqu'un d'un peu connu et donc qu'il vaille la peine d'abattre, je me sentirais obligé de préciser : cela ne signifie pas que tout féminisme soit obscurantiste. Précaution inutile devant la mauvaise foi ; précaution superflue en ce qui me concerne, j'ai le bonheur de n'être personne. En temps totalitaires plus encore que d'habitude, pour vivre heureux vivons cachés, même s'il est de plus en plus difficile de se cacher, évidemment... Allons-nous finir comme ces astrophysiciens australiens qui partent en Chine pour s'y sentir plus libres, à aller tweeter et polémiquer tranquillement sur des réseaux sociaux chinois ? Quel monde !

Lysistrata, les sorcières, les féministes spirites évoquées par P. Muray, etc. - On rigole, moi le premier, quand on lit des expressions comme « féminisme islamique », mais on a peut-être tort, finalement.