Trop long pour un tweet.
Félix gray & didier barbelivien "à toutes les...
Soit une chanson écrite par D. Barbelivien : si vous n'avez jamais entendu une chanson d'amour, si vous ne comblez pas vous-mêmes les carences du texte, en remplaçant ce qui est effectivement chanté par ce qui l'est d'ordinaire dans de telles productions, si vous abordez le texte sans opinion pré-conçue, vous trouvez ça incompréhensible - parce que ça l'est.
Toutes proportions gardées, très mal édité, assez mal écrit, Comprendre l'Empire obéit au même schéma : si vous ne connaissez pas Soral l'orateur, si vous ne vous aidez pas du souvenir de ses vidéos pour éclaircir certains passages de son livre, si vous le lisez sans aucun a priori, alors vous risquez fort d'être perdu.
Cette comparaison vaut ce qu'elle vaut et n'offre guère de garanties épistémologiques, puisque je suis moi-même un amateur de ces vidéos depuis plusieurs années. Je ne peux donc en toute rigueur me forcer à lire ce livre en faisant totalement abstraction de ce que je sais.
Mais qu'elle me soit venue à l'esprit me semble marquer une des limites de ce livre, ainsi qu'une des raisons pour lesquelles je ne vous en ai pas encore parlé. Malgré ces défauts je l'ai lu avec intérêt - et, parfois, agacement -, mais l'idée même de le rouvrir, de retrouver ces innombrables fautes de frappe et ces phrases parfois peu intelligibles, fait que je remets ça à demain.
Et demain, j'ai apocalypse, alors nous ne sommes pas sortis de l'auberge.
Libellés : Anders, Apocalypse, Barbelivien, Soral
<< Home