"Felice mi fa..." L'éternel féminin jouit du regard des hommes.
La citation aujourd'hui sera musicale, un extrait de La Bohème (Puccini), l'admirable air de Musetta, la fille pauvre qui séduit des vieux barbons riches pour échapper à la misère, mais éprouve des regrets à l'égard de son ancien amant sans le sou, Marcello.
La vidéo vaut ce qu'elle vaut, mais j'ai choisi un truc un peu ringard avec des sous-titres en anglais, plutôt que des mises en scènes dites audacieuses, avec tous les guillemets du monde, alors que la confession de Musetta sur le plaisir qu'elle prend à être regardée par les hommes, tout en lui permettant de réveiller le désir de son ex, prend paradoxalement appui sur une forme de pudeur et l'exaltation de ce que les hommes cherchent à deviner, "l'occulte beltà".
Montrer/cacher, c'est la vraie dialectique, autre chose que chez Hegel et Marx, avec tout le respect que j'ai gardé pour eux.
(Je vous laisse activer le mode plein écran.)
La vidéo vaut ce qu'elle vaut, mais j'ai choisi un truc un peu ringard avec des sous-titres en anglais, plutôt que des mises en scènes dites audacieuses, avec tous les guillemets du monde, alors que la confession de Musetta sur le plaisir qu'elle prend à être regardée par les hommes, tout en lui permettant de réveiller le désir de son ex, prend paradoxalement appui sur une forme de pudeur et l'exaltation de ce que les hommes cherchent à deviner, "l'occulte beltà".
Montrer/cacher, c'est la vraie dialectique, autre chose que chez Hegel et Marx, avec tout le respect que j'ai gardé pour eux.
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