mardi 2 janvier 2018

Chose promise, chose due.

Voici la tirade antisémite que j'avais évoquée avant-hier, vous pourrez constater que l'auteur ne fait pas dans la dentelle : 

"Je viens de rappeler quelques-uns des principaux scandales qui n’ont pas peu contribué à nous faire perdre la face aux yeux mêmes de l’étranger. Je voulais montrer que les auteurs de ces canailleries ou escroqueries étaient tous juifs. 

Le juif se trouve donc être un ferment de trouble, de dissolution, un agent de décomposition pour le corps social dans lequel il s’introduit, comme le choléra pourrit et désagrège les malades qui le subissent. Si l’on veut que les peuples vivent et prospèrent, il est donc de toute urgence de se débarrasser des juifs. Comment ? 

En les chassant de l’Europe, pour les envoyer ailleurs. Autrefois, nos rois, dès Philippe-le-Bel et Charles VII, les expulsèrent de France. De nos jours, dans l’Europe unie, il ne peut être question de conserver ici le et juif et là, de le chasser. La question juive est devenue une question européenne. Elle ne peut être résolue que par des mesures européennes prises par toutes les nations habitant l’Europe. 

« - Mais, me dira-t-on, où voulez-vous qu’ils aillent, les juifs, si personne, aucun peuple ne veut les recevoir ? Ils ont pourtant bien le droit de vivre. »


Je n’ai jamais dit le contraire, mais qu’ils aillent vivre ailleurs qu’en Europe ! Parce que personne n’en veut, faut-il que je sois condamné à conserver par-devers moi ces indésirables à tous ? Il ont le droit de vivre ? Je n’en vois pas la nécessité." 

Comte A. de Puységur, "Les sangsues de Marianne. Nos parlementaires.", 1942.