Complément au précédent.
Avant de découvrir sur Le Salon beige l'intervention de Sébastien Chenu que j'ai citée hier, j'avais lu dans le Journal atrabilaire de Jean Clair (2006) cette remarque :
"Tous les soins aux morts apparaissent aujourd'hui dérisoires et presque ridicules à nos contemporains alors que j'y vois soudain la marque de respect sans laquelle les vivants provisoires que nous sommes retourneront vite et sans le soupçonner à la barbarie du garde-chiourme nazi."
Dit comme cela, on peut y voir un raccourci péremptoire (dans euthanasie, il y a nazi...) - mais cette remarque apparaît au cours d'une méditation sur la mort d'un ami, ancien déporté. Et je vous complète cette réflexion demain, un samedi fort rempli s'annonce. A bientôt !
"Tous les soins aux morts apparaissent aujourd'hui dérisoires et presque ridicules à nos contemporains alors que j'y vois soudain la marque de respect sans laquelle les vivants provisoires que nous sommes retourneront vite et sans le soupçonner à la barbarie du garde-chiourme nazi."
Dit comme cela, on peut y voir un raccourci péremptoire (dans euthanasie, il y a nazi...) - mais cette remarque apparaît au cours d'une méditation sur la mort d'un ami, ancien déporté. Et je vous complète cette réflexion demain, un samedi fort rempli s'annonce. A bientôt !
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