Des yeux pour voir.
Un peu à court de munitions ce soir, je me contenterai de cette formule adressée par un personnage au début du roman fort antipathique, au Prince Mychkine (oui, je relis L’idiot) :
"Vous remarquez ce que les autres ne remarquent jamais."
Ce que bien sûr (et l’on sait à qui Dostoïevski pensait sans cesse en créant le personnage du Prince) j’aurais tendance à mettre en rapport avec mon évocation récente (dimanche dernier) de l’importance de l’attention.
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