J'irai profaner ta tombe - mon Taguieff dans ton cul, salope.

Un peu de grossièreté, certes, mais lorsqu'on voit l'analphabète fascisant Taguieff se faire mousser sur la dépouille à peine refroidie de Philippe Muray à l'occasion d'un texte insignifiant et cancéreux, et en profiter de surcroît pour s'offrir un coup de pub, cela ne pousse pas à l'indulgence. On se croirait à Carpentras ! Il est vrai que Muray avait quelques fréquentations déplorables, il fallait bien qu'il le paie un jour. Mais il est temps que quelqu'un honore sa mémoire et ne la laisse pas à ces vieilles putains cyniques.





Sur Taguieff, la réfutation la plus complète à ma connaissance de ses délires se trouve sur le site d'Alain de Benoist. Je précise qu'à ma demande de renseignements sur la "Nouvelle droite" Alain de Benoist m'a répondu que le meilleur livre sur le sujet était justement celui de P.-A. Taguieff - ce qui prouve que certains savent faire la part des choses.

Sur Muray, on peut lire l'hommage de M. Cinéma, qui vaut beaucoup mieux que tout ce genre d'indignités.