Mesrine forever.
La classe !
(Pour plus de détails et un peu de musique, confere M. Anthologie. Pendant ce temps, croyant qu'il suffit de battre des femmes et d'insulter des journalistes pour être quelqu'un, Joey Starr vit encore, hélas. Enfin, non, contrairement à J.B. et E. Schwarzopf, il n'a jamais été vivant. Eternité fragile de la vie et du souvenir, par rapport à la permanence périodiquement et superficiellement renouvelée du cliché et du chromo.)
Libellés : Brown, Mesrine, Schwarzkopf, Tlön
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