Deux liens.
Oui, les habitués d'"Égalité et réconciliation" les ont sans doute déjà lus, mais :
- on rigole pas mal à cette analyse des éditions récentes du "Club des cinq". Si je situe bien l'auteur, "Celeborn", nous avons eu jadis une controverse (sans coups bas, mais peut-être pas très productive), dans laquelle il m'arrivait d'adopter un point de vue « murayen ». C'est lui qui nous donne aujourd'hui comme un hommage à Muray, dans ce texte où l'on voit bien à quel point sont liées déstructuration du langage et refus de l'altérité. Il ne s'agit pas juste d'une baisse de niveau scolaire, ou du mercantilisme des éditeurs, il s'agit d'un problème de relation à soi et aux autres, et d'expression de ces relations ;
- je regarde le film consacré par Paul-Éric Blanrue à Robert Faurisson. J'ai exposé dans le temps mes principaux arguments contre le révisionnisme / négationnisme, je vous laisse lire ou relire ça : je me prenais à penser durant la vision (j'ai fait les 3/5e pour l'instant), que ce serait tout de même marrant que R. Faurisson ait raison. Que l'on nous ait bourré le mou depuis 60 ans, que nous ayons tout avalé. Rien que pour voir la tronche de certains, ça vaudrait le coup. Et quelle leçon de modestie sur la relativité du savoir... Les bouleversements qui nous attendent (crise systémique and Co) sont nécessaires, mais, vus d'ici, plus ou moins réjouissants : si celui-ci se produisait, au moins serait-il drôle !
- on rigole pas mal à cette analyse des éditions récentes du "Club des cinq". Si je situe bien l'auteur, "Celeborn", nous avons eu jadis une controverse (sans coups bas, mais peut-être pas très productive), dans laquelle il m'arrivait d'adopter un point de vue « murayen ». C'est lui qui nous donne aujourd'hui comme un hommage à Muray, dans ce texte où l'on voit bien à quel point sont liées déstructuration du langage et refus de l'altérité. Il ne s'agit pas juste d'une baisse de niveau scolaire, ou du mercantilisme des éditeurs, il s'agit d'un problème de relation à soi et aux autres, et d'expression de ces relations ;
- je regarde le film consacré par Paul-Éric Blanrue à Robert Faurisson. J'ai exposé dans le temps mes principaux arguments contre le révisionnisme / négationnisme, je vous laisse lire ou relire ça : je me prenais à penser durant la vision (j'ai fait les 3/5e pour l'instant), que ce serait tout de même marrant que R. Faurisson ait raison. Que l'on nous ait bourré le mou depuis 60 ans, que nous ayons tout avalé. Rien que pour voir la tronche de certains, ça vaudrait le coup. Et quelle leçon de modestie sur la relativité du savoir... Les bouleversements qui nous attendent (crise systémique and Co) sont nécessaires, mais, vus d'ici, plus ou moins réjouissants : si celui-ci se produisait, au moins serait-il drôle !
Libellés : Blanrue, Celeborn, Cormary, Faurrisson, Muray, Négationnisme
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