"Mon pays mérite-t-il d'être sauvé ?"
C'est une question que se posait Bernanos après Munich, ai-je lu dans L'incorrect. C'est une question que je me pose depuis longtemps, avec plus d'acuité encore ce matin en apprenant que l'armée (dite) française avait frappé la Syrie. Toujours plus loin dans l'abjection et l'imbécilité ! Perec le disait : "Toucher le fond, ça ne veut rien dire." On peut toujours faire pire.
Et comme tout se paie...
Et comme tout se paie...
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