Nouvelle tentative auprès de M. Schneidermann.
Copie d'une lettre envoyée ce jour à "Arrêt sur images" :
"Oui, bonjour, j'ai bien aimé votre dernière émission,
mais j'avoue n'avoir pas pu m'empêcher de me demander pourquoi vous n'avez pas invité, tout simplement, M. Dieudonné.
Je veux bien admettre qu'à l'entendre il n'y connaît pas grand-chose en traite des noirs, j'admets tout autant que l'homme ne faisant pas toujours dans la nuance, l'inviter ne présage pas d'une émission, ni sans doute d'un accueil critique, de tout repos.
Reste que, confronté à un historien qui connaisse bien les traites négrières et, pourquoi pas, à un historien du judaïsme qui ne fasse pas systématiquement dans l'apologétique, on aurait enfin pu voir si M. Dieudonné a des choses à dire ou non : au moins ne pourrait-il plus se poser en victime des medias.
Ce genre de choses est toujours facile à écrire depuis son fauteuil, mais il me semble que le pari eût pu être tenté et qu'à coup sûr la démocratie n'y eût pas risqué d'y perdre grand-chose.
PS : à propos des images de Florence Aubenas, oserais-je me montrer surpris qu'une émission comme la vôtre ait peur de certaines images, ou ne croie pas qu'un commentaire approprié puisse désamorcer l'éventuel piège qu'elles recèlent ? J'avoue en être resté pantois."
"Oui, bonjour, j'ai bien aimé votre dernière émission,
mais j'avoue n'avoir pas pu m'empêcher de me demander pourquoi vous n'avez pas invité, tout simplement, M. Dieudonné.
Je veux bien admettre qu'à l'entendre il n'y connaît pas grand-chose en traite des noirs, j'admets tout autant que l'homme ne faisant pas toujours dans la nuance, l'inviter ne présage pas d'une émission, ni sans doute d'un accueil critique, de tout repos.
Reste que, confronté à un historien qui connaisse bien les traites négrières et, pourquoi pas, à un historien du judaïsme qui ne fasse pas systématiquement dans l'apologétique, on aurait enfin pu voir si M. Dieudonné a des choses à dire ou non : au moins ne pourrait-il plus se poser en victime des medias.
Ce genre de choses est toujours facile à écrire depuis son fauteuil, mais il me semble que le pari eût pu être tenté et qu'à coup sûr la démocratie n'y eût pas risqué d'y perdre grand-chose.
PS : à propos des images de Florence Aubenas, oserais-je me montrer surpris qu'une émission comme la vôtre ait peur de certaines images, ou ne croie pas qu'un commentaire approprié puisse désamorcer l'éventuel piège qu'elles recèlent ? J'avoue en être resté pantois."
Libellés : Aubenas, Dieudonné, Schneidermann
<< Home