Weiß ist schön !
Allez, le coup de pub habituel :
"« L'Amérique se réconcilie avec elle-même et avec le monde ! » Ah bon ? Je connais des milliards d'individus qui n'ont pas envie de se réconcilier avec ce pays d'ordures... Pour en arriver à élire un Noir, c'est que les Yankees étaient à bout... Obama n'a pas été élu parce qu'il était noir, mais parce que les Blancs au pouvoir ont compris qu'en mettant un Noir devant, l'Amérique allait pouvoir revenir au Ier rang en effaçant ses saloperies. Son image était tellement noircie qu'il fallait un Noir pour la nettoyer. Obama blanchit l'Amérique.
Obama ne s'en cache pas : il veut redonner « la stature morale » de l'Amérique. En a-t-elle déjà eu une depuis le premier jour où les Espagnols débarquant ont tiré à l'arquebuse sur les Indiens venus leur apporter des fleurs sur la plage ? L'Amérique sera toujours porteuse de guerre et de mort. Kafka avait tout compris : au début de son roman L'Amérique, ce n'est pas un flambeau que le héros voit dans la main de la statue de la Liberté, mais un glaive...
L'Amérique se fout d'Obama, ce qu'elle voulait, c'est faire semblant aux yeux des autres de se laver de Bush alors qu'elle l'a plébiscité deux impardonnables fois. Ne pas oublier que les pires bushistes sont ceux-là mêmes qui ont voté Obama. Logiquement, il ne devrait pas y avoir assez d'oreilles pour mettre toutes les puces dedans. Personne ne semble trouver anormal que les néoconservateurs pro-Bush se soient transformés en obamiens de la vingt-cinquième heure. Il y a pourtant une raison à cela : pour mieux réenculer le monde, il fallait à l'Amérique un nouveau gode."
Le reste sur le site de l'auteur... Bonne lecture !
(NB : G. W. Bush n'a pas été plébiscité à sa première élection, il n'est même pas sûr qu'il ait été effectivement élu. Mais l'Amérique y a vite pris goût !)
"« L'Amérique se réconcilie avec elle-même et avec le monde ! » Ah bon ? Je connais des milliards d'individus qui n'ont pas envie de se réconcilier avec ce pays d'ordures... Pour en arriver à élire un Noir, c'est que les Yankees étaient à bout... Obama n'a pas été élu parce qu'il était noir, mais parce que les Blancs au pouvoir ont compris qu'en mettant un Noir devant, l'Amérique allait pouvoir revenir au Ier rang en effaçant ses saloperies. Son image était tellement noircie qu'il fallait un Noir pour la nettoyer. Obama blanchit l'Amérique.
Obama ne s'en cache pas : il veut redonner « la stature morale » de l'Amérique. En a-t-elle déjà eu une depuis le premier jour où les Espagnols débarquant ont tiré à l'arquebuse sur les Indiens venus leur apporter des fleurs sur la plage ? L'Amérique sera toujours porteuse de guerre et de mort. Kafka avait tout compris : au début de son roman L'Amérique, ce n'est pas un flambeau que le héros voit dans la main de la statue de la Liberté, mais un glaive...
L'Amérique se fout d'Obama, ce qu'elle voulait, c'est faire semblant aux yeux des autres de se laver de Bush alors qu'elle l'a plébiscité deux impardonnables fois. Ne pas oublier que les pires bushistes sont ceux-là mêmes qui ont voté Obama. Logiquement, il ne devrait pas y avoir assez d'oreilles pour mettre toutes les puces dedans. Personne ne semble trouver anormal que les néoconservateurs pro-Bush se soient transformés en obamiens de la vingt-cinquième heure. Il y a pourtant une raison à cela : pour mieux réenculer le monde, il fallait à l'Amérique un nouveau gode."
Le reste sur le site de l'auteur... Bonne lecture !
(NB : G. W. Bush n'a pas été plébiscité à sa première élection, il n'est même pas sûr qu'il ait été effectivement élu. Mais l'Amérique y a vite pris goût !)
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