"Les Français sont des veaux." (Mon Sarkozy dans votre cul.)
"Gouvernement de tous par tous, disaient-ils. En réalité, leur gouvernement ou plutôt le Gouvernement de la liberté qu'ils avaient de changer à volonté de pensée et de multiplier sans risque les distractions, les négligences et les incohérences dont le pays faisait les frais, pour se faire ensuite audacieusement délivrer le mandat de travailler à les réparer, sans qu'ils eussent d'ailleurs à feindre de se mettre à cette besogne ni de se procurer des excuses ou des alibis, car le pays eut toujours autre chose à faire que d'aller contrôler si les travaux soumissionnés étaient accomplis : ce pays nerveux, occupé de ses besognes ou de ses plaisirs, divisé entre des milliers et des milliers d'intérêts contradictoires, ne repassant jamais par les états d'esprit qu'il a traversés une fois."
(C. Maurras, Kiel et Tanger, Bibliothèque des Oeuvres politiques, 1928, pp. 174-175 ; passage écrit en 1913)
"Nous semblons n'avoir que dégoût, mépris, haine pour la démocratie. [Mais, ] si l'on veut, ce n'est pas elle que cherchent nos brocards, nos insultes. Elle n'existe plus. Femelle, elle a été violée par les éternels aventuriers qui se chargent de faire évoluer vivement la vie. Elle a mis au jour, avant de crever, un monde nouveau, le monde féroce et nouveau du capitalisme, de la ploutocratie. Quelque chose d'hypocrite couvre encore, en Occident, le grouillement hardi et sournois de cette portée herculéenne. Qu'on arrache cette chose. Qu'on renonce au cérémonial burlesque des parlements. L'État n'existe plus. Que les puissants groupes laissent tomber son cadavre, couvert d'oripeaux qui se sont fanés en un siècle, derrière lequel ils se dissimulent, que les maîtres de l'Europe et de l'Amérique se montrent au peuple et se partagent ouvertement le pouvoir : paysans et agrariens - syndicats ouvriers, industriels et banquiers. Que les classes libérales, que les débris de la bourgeoisie moyenne ou petite se résignent. (…) Quand ces classes vaincues s'agitent, ce n'est qu'au profit de ceux qui sont leurs maîtres, comme ils le sont des ouvriers et des employés. Le fascisme, finalement, ne travaille que pour le capitalisme. Il en serait de même pour l'Action française." (P. Drieu la Rochelle, "Fragment d'un discours sur les difficultés du temps", écrit en 1923, repris dans les Textes politiques, p. 77)
"…la nature d'un État où chaque intérêt particulier possède ses représentants attitrés, vivants, militants, mais où l'intérêt général et central, quoique attaqué et assiégé par tous les autres intérêts, n'est donc pas défendu, par personne ! sinon par hasard, par héroïsme ou par charité, et n'a, en fait, aucune existence distincte, n'existant qu'à l'état de fiction verbale ou de pure abstraction, agitée et brandie successivement ou simultanément par les créatures et par les meneurs de tous les partis." (Kiel et Tanger, p. 180)
"L'ordre républicain repose sur la prééminence de l'État."
"L'importance de l'État réside dans le principe selon lequel l'intérêt particulier doit toujours être contraint de céder à l'intérêt général."
"Il n'y a eu de France que grâce à l'État. La France ne peut se maintenir que par lui. Rien n'est plus capital que la légitimité, les institutions et le fonctionnement de l'État." (C. de Gaulle, 1960, cité par M. Jullian, De Gaulle, Pensées, répliques et anecdotes, le cherche-midi, 1994, p. 42. Les deux citations précédentes, non datées, se trouvent p. 40)
Ce qu'a réussi de Gaulle, ou plutôt, ce qu'ont réussi de Gaulle et le programme du CNR, c'est-à-dire, ce qu'ont réussi de Gaulle et une partie du peuple français ensemble, même si, durant la deuxième étape de ce processus, lors de la période 1958-1962, ils ont pu, contrairement à ce qui s'était passé, globalement, à la Libération, s'opposer violemment, ce qu'ils ont réussi, donc, c'est la mise au point d'une incarnation républicaine de l'intérêt général. Ce que Drieu en 1923 croyait révolu, ce que Maurras estimait impossible d'un point de vue logique, de Gaulle et les Français sont parvenus à le mettre sur pied. Il a fallu pour cela de nombreuses conditions, parmi lesquelles :
- l'héritage historique centralisateur français. Je n'aime pas trop l'expression employée parfois par A. Soral et d'autres de « logiciel français », mais le fait est que de Gaulle et les Français, en 1944 comme en 1962, ont travaillé avec cet État fort et centralisateur, héritage de la monarchie absolue comme des Jacobins et de Napoléon ;
- en soi-même, cet État n'a donc rien de démocrate ou républicain, mais ce fut précisément le coup de génie, plus ou moins réfléchi, des participants : alors que les Républicains des périodes précédentes, disons des IIe et IIIe Républiques croyaient, au moins officiellement, si j'ose dire, à une incompatibilité entre l'État fort et la démocratie, l'idée-force qui s'est petit à petit imposée entre 1944 et 1962 (et que l'on trouve en filigrane dans la citation de Drieu ci-dessus), fut de mettre l'État centralisateur au service de la part de l'État qui représente le peuple (dont je vous entretenais dans le texte que j'ai récemment remis en ligne), c'est-à-dire de mettre l'État au service de la démocratie, ce que le programme du CNR revendique et symbolise ;
- mais pour cela, il a fallu que cet État soit incarné : de Gaulle n'a pas seulement mis sur pied la Ve République, il a incarné l'État républicain. On ne comprend rien, ni à l'histoire de France en général, ni à celle de la Ve République en particulier, si l'on oppose systématiquement d'une part démocratie et État, d'autre part démocratie et pouvoir personnel fort. Je ne prétends pas que l'exercice de la démocratie (au sens classique de « gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ») doive nécessairement en passer par là, j'y reviens ci-après, j'affirme seulement que dans certaines conjonctures comme celle-qui nous occupe, le « par le peuple » a pu mieux fonctionner dans la mesure où il était clairement identifiable, en l'occurrence en la personne d'un vieux militaire trempé dans une éducation catholique et maurrassienne ;
- last but not least, on n'aura garde d'oublier cette importante condition, négative si l'on veut : la mise au pas du patronat cosmopolite et traître à la nation. Cela ne dura certes pas longtemps, mais ce fut un préalable indispensable : sans l'affaiblissement dû à la Collaboration de la « ploutocratie » évoquée par Drieu, il n'y aurait pas eu la place pour que quelque chose comme le programme du CNR puisse s'imposer, même seulement en partie.
Ce fut ensuite toute l'ambiguïté de la Ve République gaullienne - à l'intérieur comme à l'extérieur. On sait que le Général eut besoin de la permission comme de l'aide des Américains pour revenir au pouvoir, on sait que la modernisation et la croissance économique appelées de leurs voeux par la grande majorité des Français ne pouvaient guère se faire sans l'appui des grands groupes économiques. Sans doute la grille de lecture la plus féconde de la République gaullienne se trouve-t-elle dans l'analyse de la façon dont le Général navigua entre ces contraintes objectives qu'il connaissait mieux que personne.
Ceci pour dire que je n'idéalise pas non plus cette période, qui vit tout de même naître aussi bien l'« État-UDR » (c'est-à-dire la captation d'une part de l'État, et donc de son aspect « populaire », par un groupe précis) que, plus généralement, la mythologie de la croissance. Répétons nettement par ailleurs, avant qu'Alain de Benoist ou un autre zélateur du principe de subsdidiarité ne me donne des coups de règle sur les doigts, que je ne soutiens aucunement que la Ve République soit la seule voie, française ou universelle, vers la démocratie (toujours au sens général et délicieusement ambigu rappelé plus haut). J'analyse une conjoncture historique que tout le monde regrette aujourd'hui - après avoir foutu de Gaulle dehors, ne l'oublions pas, en deux étapes qui virent l'alliance objective des internationalistes de gauche (68) et des internationalistes de droite (la bourgeoisie cosmopolite : le référendum de 69). Répétons enfin que la constitution gaullienne, comme d'ailleurs la monarchie absolue, a les défauts de ses qualités : si le Président n'a pas la capacité ou la volonté d'incarner le peuple, le divorce d'avec celui-ci se fait très aisément, et c'est évidemment la situation actuelle - qui redonne une seconde jeunesse aux diagnostics de Maurras et Drieu.
En guise de conclusion provisoire, je voudrais insister sur le caractère parcellaire, voire expérimental (au sens d'une expérience scientifique : que se passe-t-il si l'on retient tels paramètres et si on fait momentanément abstraction d'autres paramètres) de ces propos. Inspirés aussi bien d'une expérience historique précise que par une théorie politique très générale, à certains égards trans-historique (celle de Pierre Boutang dans Reprendre le pouvoir, 1977), ils ne tiennent pas compte, ni de l'évolution des types anthropologiques depuis la monarchie absolue (Drieu (au contraire, disons-le tout de suite, de Maurras) n'oublie pas cette dimension : "Le mal, c'est l'Individu déchaîné par l'Occident", écrit-il en 1925 ("Nouvel Empire, p. 83 des Textes politiques)), ni des rapports aussi essentiels que complexes entre démocratie, État, capitalisme et Nation. Mais il faut bien prendre, ou reprendre, le problème par un bout.
Pour le dire vite : la forte sentence de Thierry Meyssan (ici, 2e partie de l'entretien, à la 8e minute à peu près) : "Il n'y a pas de démocratie sans nation. Si vous n'êtes pas patriote, vous êtes anti-démocrate" a pu être, et encore faudrait-il ici des analyses plus précises, historiquement vraie. L'est-elle toujours, that is the question. Que le déchet Sarkozy soit à la fois anti-démocrate, antinational, anti-Français et n'ait aucun sens de l'État (pour un Président de la République française, ça commence à faire beaucoup !) n'est qu'un aspect de ce problème, quand bien même c'en serait un aspect révélateur.
A suivre……………………………
(C. Maurras, Kiel et Tanger, Bibliothèque des Oeuvres politiques, 1928, pp. 174-175 ; passage écrit en 1913)
"Nous semblons n'avoir que dégoût, mépris, haine pour la démocratie. [Mais, ] si l'on veut, ce n'est pas elle que cherchent nos brocards, nos insultes. Elle n'existe plus. Femelle, elle a été violée par les éternels aventuriers qui se chargent de faire évoluer vivement la vie. Elle a mis au jour, avant de crever, un monde nouveau, le monde féroce et nouveau du capitalisme, de la ploutocratie. Quelque chose d'hypocrite couvre encore, en Occident, le grouillement hardi et sournois de cette portée herculéenne. Qu'on arrache cette chose. Qu'on renonce au cérémonial burlesque des parlements. L'État n'existe plus. Que les puissants groupes laissent tomber son cadavre, couvert d'oripeaux qui se sont fanés en un siècle, derrière lequel ils se dissimulent, que les maîtres de l'Europe et de l'Amérique se montrent au peuple et se partagent ouvertement le pouvoir : paysans et agrariens - syndicats ouvriers, industriels et banquiers. Que les classes libérales, que les débris de la bourgeoisie moyenne ou petite se résignent. (…) Quand ces classes vaincues s'agitent, ce n'est qu'au profit de ceux qui sont leurs maîtres, comme ils le sont des ouvriers et des employés. Le fascisme, finalement, ne travaille que pour le capitalisme. Il en serait de même pour l'Action française." (P. Drieu la Rochelle, "Fragment d'un discours sur les difficultés du temps", écrit en 1923, repris dans les Textes politiques, p. 77)
"…la nature d'un État où chaque intérêt particulier possède ses représentants attitrés, vivants, militants, mais où l'intérêt général et central, quoique attaqué et assiégé par tous les autres intérêts, n'est donc pas défendu, par personne ! sinon par hasard, par héroïsme ou par charité, et n'a, en fait, aucune existence distincte, n'existant qu'à l'état de fiction verbale ou de pure abstraction, agitée et brandie successivement ou simultanément par les créatures et par les meneurs de tous les partis." (Kiel et Tanger, p. 180)
"L'ordre républicain repose sur la prééminence de l'État."
"L'importance de l'État réside dans le principe selon lequel l'intérêt particulier doit toujours être contraint de céder à l'intérêt général."
"Il n'y a eu de France que grâce à l'État. La France ne peut se maintenir que par lui. Rien n'est plus capital que la légitimité, les institutions et le fonctionnement de l'État." (C. de Gaulle, 1960, cité par M. Jullian, De Gaulle, Pensées, répliques et anecdotes, le cherche-midi, 1994, p. 42. Les deux citations précédentes, non datées, se trouvent p. 40)
Ce qu'a réussi de Gaulle, ou plutôt, ce qu'ont réussi de Gaulle et le programme du CNR, c'est-à-dire, ce qu'ont réussi de Gaulle et une partie du peuple français ensemble, même si, durant la deuxième étape de ce processus, lors de la période 1958-1962, ils ont pu, contrairement à ce qui s'était passé, globalement, à la Libération, s'opposer violemment, ce qu'ils ont réussi, donc, c'est la mise au point d'une incarnation républicaine de l'intérêt général. Ce que Drieu en 1923 croyait révolu, ce que Maurras estimait impossible d'un point de vue logique, de Gaulle et les Français sont parvenus à le mettre sur pied. Il a fallu pour cela de nombreuses conditions, parmi lesquelles :
- l'héritage historique centralisateur français. Je n'aime pas trop l'expression employée parfois par A. Soral et d'autres de « logiciel français », mais le fait est que de Gaulle et les Français, en 1944 comme en 1962, ont travaillé avec cet État fort et centralisateur, héritage de la monarchie absolue comme des Jacobins et de Napoléon ;
- en soi-même, cet État n'a donc rien de démocrate ou républicain, mais ce fut précisément le coup de génie, plus ou moins réfléchi, des participants : alors que les Républicains des périodes précédentes, disons des IIe et IIIe Républiques croyaient, au moins officiellement, si j'ose dire, à une incompatibilité entre l'État fort et la démocratie, l'idée-force qui s'est petit à petit imposée entre 1944 et 1962 (et que l'on trouve en filigrane dans la citation de Drieu ci-dessus), fut de mettre l'État centralisateur au service de la part de l'État qui représente le peuple (dont je vous entretenais dans le texte que j'ai récemment remis en ligne), c'est-à-dire de mettre l'État au service de la démocratie, ce que le programme du CNR revendique et symbolise ;
- mais pour cela, il a fallu que cet État soit incarné : de Gaulle n'a pas seulement mis sur pied la Ve République, il a incarné l'État républicain. On ne comprend rien, ni à l'histoire de France en général, ni à celle de la Ve République en particulier, si l'on oppose systématiquement d'une part démocratie et État, d'autre part démocratie et pouvoir personnel fort. Je ne prétends pas que l'exercice de la démocratie (au sens classique de « gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ») doive nécessairement en passer par là, j'y reviens ci-après, j'affirme seulement que dans certaines conjonctures comme celle-qui nous occupe, le « par le peuple » a pu mieux fonctionner dans la mesure où il était clairement identifiable, en l'occurrence en la personne d'un vieux militaire trempé dans une éducation catholique et maurrassienne ;
- last but not least, on n'aura garde d'oublier cette importante condition, négative si l'on veut : la mise au pas du patronat cosmopolite et traître à la nation. Cela ne dura certes pas longtemps, mais ce fut un préalable indispensable : sans l'affaiblissement dû à la Collaboration de la « ploutocratie » évoquée par Drieu, il n'y aurait pas eu la place pour que quelque chose comme le programme du CNR puisse s'imposer, même seulement en partie.
Ce fut ensuite toute l'ambiguïté de la Ve République gaullienne - à l'intérieur comme à l'extérieur. On sait que le Général eut besoin de la permission comme de l'aide des Américains pour revenir au pouvoir, on sait que la modernisation et la croissance économique appelées de leurs voeux par la grande majorité des Français ne pouvaient guère se faire sans l'appui des grands groupes économiques. Sans doute la grille de lecture la plus féconde de la République gaullienne se trouve-t-elle dans l'analyse de la façon dont le Général navigua entre ces contraintes objectives qu'il connaissait mieux que personne.
Ceci pour dire que je n'idéalise pas non plus cette période, qui vit tout de même naître aussi bien l'« État-UDR » (c'est-à-dire la captation d'une part de l'État, et donc de son aspect « populaire », par un groupe précis) que, plus généralement, la mythologie de la croissance. Répétons nettement par ailleurs, avant qu'Alain de Benoist ou un autre zélateur du principe de subsdidiarité ne me donne des coups de règle sur les doigts, que je ne soutiens aucunement que la Ve République soit la seule voie, française ou universelle, vers la démocratie (toujours au sens général et délicieusement ambigu rappelé plus haut). J'analyse une conjoncture historique que tout le monde regrette aujourd'hui - après avoir foutu de Gaulle dehors, ne l'oublions pas, en deux étapes qui virent l'alliance objective des internationalistes de gauche (68) et des internationalistes de droite (la bourgeoisie cosmopolite : le référendum de 69). Répétons enfin que la constitution gaullienne, comme d'ailleurs la monarchie absolue, a les défauts de ses qualités : si le Président n'a pas la capacité ou la volonté d'incarner le peuple, le divorce d'avec celui-ci se fait très aisément, et c'est évidemment la situation actuelle - qui redonne une seconde jeunesse aux diagnostics de Maurras et Drieu.
En guise de conclusion provisoire, je voudrais insister sur le caractère parcellaire, voire expérimental (au sens d'une expérience scientifique : que se passe-t-il si l'on retient tels paramètres et si on fait momentanément abstraction d'autres paramètres) de ces propos. Inspirés aussi bien d'une expérience historique précise que par une théorie politique très générale, à certains égards trans-historique (celle de Pierre Boutang dans Reprendre le pouvoir, 1977), ils ne tiennent pas compte, ni de l'évolution des types anthropologiques depuis la monarchie absolue (Drieu (au contraire, disons-le tout de suite, de Maurras) n'oublie pas cette dimension : "Le mal, c'est l'Individu déchaîné par l'Occident", écrit-il en 1925 ("Nouvel Empire, p. 83 des Textes politiques)), ni des rapports aussi essentiels que complexes entre démocratie, État, capitalisme et Nation. Mais il faut bien prendre, ou reprendre, le problème par un bout.
Pour le dire vite : la forte sentence de Thierry Meyssan (ici, 2e partie de l'entretien, à la 8e minute à peu près) : "Il n'y a pas de démocratie sans nation. Si vous n'êtes pas patriote, vous êtes anti-démocrate" a pu être, et encore faudrait-il ici des analyses plus précises, historiquement vraie. L'est-elle toujours, that is the question. Que le déchet Sarkozy soit à la fois anti-démocrate, antinational, anti-Français et n'ait aucun sens de l'État (pour un Président de la République française, ça commence à faire beaucoup !) n'est qu'un aspect de ce problème, quand bien même c'en serait un aspect révélateur.
A suivre……………………………
Libellés : Benoist, Boutang, de Gaulle, Drieu la Rochelle, Maurras, Meyssan, Napoléon, Sarkozy, Soral
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