Revenons à Monnerot et à "Démarxiser l'université."
"On peut donc être tenté d'imputer à la majorité du corps enseignant français la responsabilité d'une telle situation, et les responsabilités étant proportionnelles aux connaissances, les plus savants, ou ceux qui socialement sont réputés pour tels, sont les plus coupables. Les possibilités de critique, que la culture dont ils sont les bénéficiaires et dont ils sont ou devraient être les participants actifs met à leur disposition, leur permettent de désintégrer à vue les marxismes. On doit d'ailleurs dire à leur décharge que la formule politique des régimes français au XXe siècle, que les plis pris par la société et l'État contemporains, ne les prédisposent pas, ne les forment pas à prendre jusqu'au bout leurs responsabilités dans cet étrange état de paix empoisonnée, ou de guerre homéopathique, qui est devenu celui de notre monde historique depuis que le marxisme est assez fort pour mener son entreprise sans l'être assez pour la mener à bien."
Toute ressemblance avec une situation contemporaine, etc. J'espère que vous appréciez comme moi ces formules (j'ai introduit de très légères corrections pour la fluidité de la citation). Une dernière :
"Nos politiciens ne se sont pas laissé ébranler, ne se sont pas laissé détourner de la politique de l'autruche, cette résolution des irrésolus."
Toute ressemblance avec une situation contemporaine, etc. J'espère que vous appréciez comme moi ces formules (j'ai introduit de très légères corrections pour la fluidité de la citation). Une dernière :
"Nos politiciens ne se sont pas laissé ébranler, ne se sont pas laissé détourner de la politique de l'autruche, cette résolution des irrésolus."
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