"Tout va trop vite...
(Ajout le 9.03)
...et tout change sans crier gare.", chantaient Stone et Charden ("Heureusement il y a toi / Tu ne changes pas / Tu as toujours la même tête. / Toi, tu ne changes pas / T'es comme le prix des allumettes.") - Troyat, Baudrillard, Barre, Bush, Sarkozy, Royal..., on ne sait plus où donner de la plume. Heureusement il y a elle !
De mauvais esprits - des démons - y verraient de l'incitation au calembour lepéniste sur les différents usages du four, me souffle mon inconscient freudien, lourdement plombé de meaux (d'esprit), manifestement hanté par Lanzmann, c'est répugnant - et encore Mauricette (et son rapport au père) m'a-t-elle heureusement distrait quelque temps d'inavouables rêveries suggérés par M. Cinéma dans son commentaire du texte précédent, une bonne partie de la ma journée d'esclave salarié s'étant passée, Wagner à l'oreille ("Mein lieber schwann..."), hier, à imaginer ce que pouvaient être des rapports avec la fille du père - il faut dire qu'une des premières femmes nues qu'il m'ait été donné de voir dans ma vie, après ma mère, fut Pierrette Le Pen en couverture du Canard enchaîné - ça vous pose un homme. Bon, il est des détails (aïe, Le Pen, encore...) qu'il vaut mieux passer sous silence, - "Ce dont on ne peut parler, il faut le taire", comme disait un ancien camarade de classe de Hitler (la légende dit d'ailleurs que Wittgenstein n'avait pas arrêté de martyriser le petit Adolf à l'école - petites causes, grands effets ? -, mais je n'en garantis pas la véracité).
Il y eut une autre femme avant Pierrette (avant ma mère ?) - un célèbre livre de Norman Mailer trônait dans la bibliothèque maternelle, et a occupé quelques heures de ma vie :
Cette photo ne s'y trouve pas, mais elle correspond à mon souvenir. - Les hommes juifs, les femmes blondes, Le Pen au milieu de tout ça... Voilà quelques choses inconnues, voilà comment se forme l'univers d'un gamin ! - Une prochaine fois je vous montrerai que le vrai responsable est Mitterrand. Bonne journée !
(Ajout le 9.03)
J'ai adoré Portnoy quand je l'ai lu, m'identifiant sans peine à ce juif libidineux cherchant à baiser les Etats-Unis en même temps que les shiksa (femmes goy) américaines - comme si, quelque part, les femmes blanches n'étaient pas de mon monde. A ceux qui ne l'ont pas lu, et bien que cela remonte déjà à une bonne dizaine d'années, je ne peux que le recommander.
...et tout change sans crier gare.", chantaient Stone et Charden ("Heureusement il y a toi / Tu ne changes pas / Tu as toujours la même tête. / Toi, tu ne changes pas / T'es comme le prix des allumettes.") - Troyat, Baudrillard, Barre, Bush, Sarkozy, Royal..., on ne sait plus où donner de la plume. Heureusement il y a elle !
De mauvais esprits - des démons - y verraient de l'incitation au calembour lepéniste sur les différents usages du four, me souffle mon inconscient freudien, lourdement plombé de meaux (d'esprit), manifestement hanté par Lanzmann, c'est répugnant - et encore Mauricette (et son rapport au père) m'a-t-elle heureusement distrait quelque temps d'inavouables rêveries suggérés par M. Cinéma dans son commentaire du texte précédent, une bonne partie de la ma journée d'esclave salarié s'étant passée, Wagner à l'oreille ("Mein lieber schwann..."), hier, à imaginer ce que pouvaient être des rapports avec la fille du père - il faut dire qu'une des premières femmes nues qu'il m'ait été donné de voir dans ma vie, après ma mère, fut Pierrette Le Pen en couverture du Canard enchaîné - ça vous pose un homme. Bon, il est des détails (aïe, Le Pen, encore...) qu'il vaut mieux passer sous silence, - "Ce dont on ne peut parler, il faut le taire", comme disait un ancien camarade de classe de Hitler (la légende dit d'ailleurs que Wittgenstein n'avait pas arrêté de martyriser le petit Adolf à l'école - petites causes, grands effets ? -, mais je n'en garantis pas la véracité).
Il y eut une autre femme avant Pierrette (avant ma mère ?) - un célèbre livre de Norman Mailer trônait dans la bibliothèque maternelle, et a occupé quelques heures de ma vie :
Cette photo ne s'y trouve pas, mais elle correspond à mon souvenir. - Les hommes juifs, les femmes blondes, Le Pen au milieu de tout ça... Voilà quelques choses inconnues, voilà comment se forme l'univers d'un gamin ! - Une prochaine fois je vous montrerai que le vrai responsable est Mitterrand. Bonne journée !
(Ajout le 9.03)
J'ai adoré Portnoy quand je l'ai lu, m'identifiant sans peine à ce juif libidineux cherchant à baiser les Etats-Unis en même temps que les shiksa (femmes goy) américaines - comme si, quelque part, les femmes blanches n'étaient pas de mon monde. A ceux qui ne l'ont pas lu, et bien que cela remonte déjà à une bonne dizaine d'années, je ne peux que le recommander.
Libellés : Barre, Baudrillard, Freud, Hitler, Lanzmann, Le Pen, Mailer, Marylin, Maubreuil, Mauricette, Mitterrand, Moi, P. Roth, Royal, Sarkozy, Stone et Charden, Troyat, Wagner, Wittgenstein
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