Avec Notre-Dame, prions pour la fin du nouveau monde...
En prélude à un acte XXIV que l’on souhaite productif…
"Il faut que cette nation, si cruellement humiliée, soit grotesque par surcroît : et qu’elle déclare, à la risée de tous, qu’elle n’a jamais été si grande, si puissante, si imposante et si riche… Byzance fut ainsi. Dès qu’un Empereur avait été battu par les Avares, les Bulgares ou les Goths, avait acheté ignominieusement, à prix d’or, une trêve de quelques années, ou cédé quelques lambeaux de son territoire sans cesse rétréci, il rentrait à Constantinople, revêtait le costume du triomphe. Et toute une armée d’histrions, venus à sa rencontre, chantait des cantates en son honneur."
Édouard Drumont, La Fin d’un monde.
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