Touche pas à mon pote.
Pas mécontent de le trouver, celui-là. Tiré à 1000 exemplaires, dont 850 ont été saisis sur plainte de la société gérant les droits, laquelle a trouvé cette publication plus choquante que le fait qu'un « cinéaste » américain profane mon enfance au nom de son « désir »... - voici donc un des 150 survivants, un des 150 rescapés de l'holocauste juridique, de l'autodafé administratif.
Je vous laisse, une nouvelle amie, Jeanne d'Arc, m'attend. Encore une qu'un bûcher n'a pu faire complètement disparaître, il s'en faut.