Un peu de tout aujourd'hui. Le monde lui-même est de plus en plus décousu, alors pourquoi pas mes textes ou moi,
de temps en temps.
J'ai
déjà cité cette phrase de J.-P. Voyer, qui m'avait marqué dès la première bénie lecture, où le maître disait en substance que le fait même qu'un type comme lui ne puisse pas ne pas être au courant de l'existence d'un type comme BHL prouvait que le monde allait bien mal. Vingt-cinq après, que quelqu'un comme moi puisse à l'occasion - pas souvent, mais pas exceptionnellement non plus - se retrouver d'accord avec quelqu'un comme
I. Rioufol, qui représente à peu près tout ce que je déteste, est peut-être, et quoique le fait même que l'accession de cet enfoiré à une tribune publique ne soit pas bon signe, est peut-être, paradoxalement, un signe positif, même très minime : qu'un salaud qui prêche et la division, et la séparation, se retrouve à énoncer quelques vérités, il faut bien qu'elles soient de plus en plus visibles...
Un blogueur
di qualita, di qualita, m'écrivait, après
la première charge d'Alain Soral contre Marc-Édouard Nabe, que beaucoup de forumeux soraliens du Net s'en prenaient désormais à Nabe, sans se poser de questions sur la validité des propos tenus par leur
Che. Il y a quelques jours, un universitaire à qui j'avais fait parvenir un texte que j'avais écrit sur lui, se lamentait que je l'aie "trainé dans la boue", et même "assassiné", les gens selon lui ne se fondant plus que sur Internet pour se faire une opinion.
Il y a de la meute, je veux bien, sur le Net au moins autant qu'ailleurs, mais il faudrait nuancer. Dans sa biographie de Daniel Halévy, Sébastien Laurent montre ainsi que lorsque Halévy a commencé à s'éloigner de sa famille politique de gauche, il eut très vite des difficultés pour écrire dans les journaux où il avait l'habitude de s'exprimer : bientôt il ne put plus publier (aïe !) que grâce aux milieux proches de l'Action Française. Sébastien Laurent fait remarquer, s'inspirant de remarques analogues de F. Brayard dans son
Comment l'idée vint à M. Rassinier (Fayard, 1996), que le même phénomène s'est produit avec le premier négationniste : une fois radié par son milieu d'origine, l'extrême-gauche, lui qui resta toute sa vie anti-colonialiste, n'eut plus d'autre choix, pour essayer de faire connaître ses thèses révisionnistes, que de se faire éditer par l'extrême-droite, avec tout ce que cela implique des points de vue symbolique et concret.
On peut penser ce que l'on veut de ces démonstrations et de ces exemples, il reste que, au moins pour les gens qui ne vivent pas de leur plume, Internet permet d'éviter ces logiques sectaires. -
A contrario d'ailleurs, ceux qui, malgré ces possibilités nouvelles de non-allégeance à personne d'autre qu'à ce qu'ils croient être la vérité, rejoignent tout de même des sites idéologiquement marqués, peuvent s'interroger sur ce qui les motive, ainsi que sur ce qu'à long terme ils peuvent risquer, ces remarques venant de quelqu'un qui n'aime pas les amalgames ni ceux qui les font.
Ayant fini
L'homme qui arrêta d'écrire, que je qualifierai très sommairement de livre généreux, à la fois au sens où l'on parle des formes généreuses d'une femme, et parce que l'auteur y fait preuve de générosité, envers son lecteur comme à l'égard de la plupart de ses personnages, j'ai un peu approfondi la question du conspirationnisme. A part l'attaque d'Alain Soral déjà mentionnée, voici les principales pièces du dossier, à ma connaissance, sous l'angle du livre de Nabe :
- la
réponse du Libre Penseur au portrait qui est fait de lui et aux objections qui lui sont présentées par MEN ;
- l'étude précise et convaincante de
Laurent James, principalement axée sur le palimpseste de la
Divine Comédie par Nabe, mais qui évoque ces questions ;
- le
texte que cela inspira au Libre Penseur ;
- et enfin
la réponse de Laurent James.
Cette problématique du conspirationnisme est importante en ce que s'y croisent une question proprement politique :
qui est l'auteur du 11 septembre ? d'où vient la crise financière ?, etc., la réponse à chacune des questions de cet ordre étant évidemment riche d'implications sur la direction que l'on tente de donner à son combat ; et une question psychologique : individu lambda, que puis-je croire sur le monde actuel ? L'aspect politique nous concerne tous d'une certaine manière, mais il n'est dramatique, au sens où peut et doit l'être une action théâtrale, que pour ceux qui sont consciemment engagés dans une lutte politique ; l'aspect psychologique est central pour tout un chacun - et tout un chacun le sait - dans notre monde mal-enchanté. Les deux angles de vue sont par ailleurs liés, puisque bien sûr vous ne pouvez porter le même regard sur les possibilités de confiance dans
ce qu'on nous raconte si vous arrivez à la conclusion que le 11 septembre est une opération américaine, ou une action d'Al-Qaïda. Dans l'autre sens, on voit bien que, dans certains cas - c'est un des propos de
L'homme qui arrêta d'écrire - c'est une méfiance originelle, qui aimerait bien qu'on l'assimile à l'esprit critique mais qui va en réalité plus loin, qui est à la source de la remise en cause des versions officielles. Ce qui n'empêche pas, réciproquement, que certains puissent s'accrocher à ces versions officielles par peur de devoir se poser trop de questions s'ils y renonçaient.
Après avoir fait remarquer incidemment que l'argument que j'utilisais
début 2009, que l'on trouve aussi dans le livre de Nabe, selon lequel il est tout de même étonnant, si le 11 septembre est un complot, qu'aucun de ceux qui y a participé, et cela fait nécessairement pas mal de monde, n'ait éprouvé le besoin, ne serait-ce que pour goûter au quart d'heure warholien de célébrité, de lancer un pavé dans la mare sur le Net - le Libre Penseur utilise des déclarations de personnalités
officielles italiennes ou russes, députés ou militaires, mais qui n'ont pas participé au complot -, après avoir fait remarquer que cet argument non seulement est toujours valable mais devient un peu plus vrai chaque jour que Dieu fait - tout en risquant bien sûr de devenir brutalement faux… -, voici quelques modestes diagnostics :
- je le dis sans citer d'exemples précis, j'ai commis l'erreur d'écouter sa réaction au livre de Nabe sans noter sur l'instant les passages qui me semblaient les plus caractéristiques, je serai plus précis si on me demande de l'être : certaines formulations du Libre Penseur me semblent d'une rigidité intellectuelle cadavérique qui donne pleinement raison, pour lui comme pour d'autres, à la façon dont Nabe a évoqué sa silhouette dans son dernier livre ;
- en particulier, au centre de cette problématique, on trouve l'idée selon laquelle "le hasard est la Providence des imbéciles" : cette fameuse sentence de Bloy, connue de Nabe, du Libre Penseur, de Laurent James, et, probablement, de Soral, est susceptible de diverses interprétations,
soft ou
hard. L'interprétation
hard est psychologiquement difficilement tenable - comment ne pas sombrer dans la paranoïa ? - et dangereuse d'un point de vue chrétien : pour Dieu peut-être il n'y a pas de hasard - et encore est-ce loin d'être une évidence -, mais il est tout de même au fondement du christianisme de se méfier de la volonté d'être
comme des dieux ;
- on me répondra, avec probablement Guénon à l'appui, que l'initiation n'est pas faite pour les chiens. J'admets ici, sans ironie aucune, que j'atteins vite mon seuil d'incompétence, n'ayant jamais suivi aucun processus d'initiation. Il ne me semble pas pour autant vain de citer
de nouveau ce qu'écrivait Pierre Boutang en 1946, dans son
Sartre est-il un possédé ? :
"Nulle part, mieux que dans l'oeuvre de Dostoïevski, l'opposition de la contemplation et de l'action n'a été mise à jour. Les contemplatifs de Dostoïevski vivent une solitude qui s'oriente vers les autres : les possédés s'assemblent au contraire, ils forment même des sociétés secrètes et transportent dans les cités leur désert intérieur. La clandestinité est un des signes de la possession, une certaine forme du secret est l'inverse démoniaque du mystère sacramentel. Que les cités menacées soient contraintes d'organiser leur résistance clandestine, voilà un effet du malheur et de la défaite, et les hommes peuvent s'y adapter... mais qu'ils attendent de cette clandestinité la révélation de leur relation à la patrie ou à la cité, voilà qui ne serait guère sérieux, si ce n'était diabolique." (La Table Ronde, 1950, pp. 59-60)
Boutang, qui a consacré sa thèse à l'
Ontologie du secret, ceci pour signaler que ce thème n'avait pour lui rien de secondaire, n'était pas que je sache ésotériste. Je ne prétends pas par ailleurs clore le débat avec cette citation. Mais je crois avoir suffisamment clarifié certaines idées de mon côté pour pouvoir mettre en garde les
libres penseurs sur la minceur de la ligne de partage, particulièrement lorsque que, sous l'effet « du malheur et de la défaite », on se retrouve contraint d'organiser la « résistance clandestine » contre l'Empire, la minceur de la ligne de partage entre la recherche et/ou la conscience de l'existence des antiques mystères divins, païens ou chrétiens (ou autres…, sachant bien que le statut du mystère n'y est pas toujours le même), et la possession paranoïaque et « démoniaque ».
Ce que l'on pourrait appeler l'interprétation semi-
hard de la sentence de Bloy n'est donc pas sans danger non plus. Je suis bien loin d'avoir la compétence pour le faire, mais peut-être serait-il utile de se demander si les sociétés secrètes n'ont pas eu tendance, avec la modernité, à basculer du « côté obscur » de cette ligne de partage. Si la modernité naît sous le sceau de
la méfiance, il ne serait en tout cas pas incongru que les ordres anciens soient peu à peu devenus des réunions, sinon de possédés, du moins de paranoïaques, persuadés d'être les seuls à avoir raison. Pour rester chez les catholiques, on pourrait ainsi étudier sous cet angle l'évolution qui mène des Templiers à l'Opus Dei en passant par les Jésuites. Exemples choisis à dessein parmi des groupes qui ont effectivement eu du pouvoir, qui savent donc que c'est possible d'en avoir - et qui jouissent d'en avoir.
C'est une piste, je vous la livre. Et je comprends en la formulant pourquoi les appels récurrents, au XXe siècle, à la création d'élites secrètes - on trouve ça chez des gens comme Caillois ou Abellio, par exemple - m'ont toujours un peu gêné. Je ne suis pas en train de ranger tous les membres de sociétés secrètes dans la catégorie des possédés, histoire de me débarrasser d'eux une bonne fois pour toutes, je relève que le remède peut ne pas être éloigné du mal, s'il ne le nourrit pas. Et je crois plus, même si elle n'est pas exclusive de la solution élitiste, à la proposition de Laurent James, d'incarner "nos esprits par l’engendrement d’enfants beaux, sensibles et intelligents" - comme les miens ! La vertu de l'exemple, de la
publicité… ce qui peut aussi se retrouver dans le travail de ceux qui exposent au grand jour des relations
occultes, quand ils nous apprennent réellement quelque chose, nous sommes d'accord.
- "La Bête n’est pas d’un seul tenant (elle a sept têtes et dix cornes), et Saint Jean nous décrit même de terribles combats entre ses différentes incarnations : ce sont la Bête venue de la mer et la Bête venue de la terre qui dévorent Babylone au chapitre XVII de l’Apocalypse. Le Diable est celui qui divise, car il est lui-même infiniment fragmenté", écrit Laurent James, notant avec raison que c'est un point important de clivage entre lui et le Libre Penseur. On retrouvera bien sûr des idées de ce genre chez les grands romanciers catholiques. Elle est abondamment exploitée dans un livre dont je vous ai un peu parlé il y a deux ans,
La part du diable de Denis de Rougemont. J'y rejette un oeil à l'occasion. Notons que si ce livre est notamment fondé sur l'idée baudelairienne selon laquelle "la plus belle ruse du Diable est de vous persuader qu'il n'existe pas", l'idée symétrique est tout autant, et par-là même, valable : une belle ruse du Diable revient à nous convaincre de sa toute-puissance éternelle, depuis toujours et pour toujours ;
- cette incise faite, et puisque nous venons d'évoquer des romanciers catholiques, comment ne pas voir qu'il y a une confusion, chez Alain Soral maintenant, entre les « imbéciles » évoqués par la formule de Léon Bloy et, si j'ose dire, magnifiés par Bernanos, et les « idiots utiles » de la
doxa stalinienne ? J.-P. Voyer évoque avec raison une « crise de stalinite » dans certains emportements récents d'Alain Soral contre Nabe ou J.-L. Mélenchon. Certains propos du Libre Penseur, refusant à Laurent James - ou à moi-même - la possibilité de douter encore sur le 11 septembre, sous le prétexte que se tromper sur un sujet aussi important est une complicité objective avec l'Empire, vont dans le même sens. Soyons précis : je ne dis rien sur ce qui s'est passé le 11 septembre, je ne crois pas
a priori à l'absence de tout complot, je crois tout à fait que notre époque en est farcie (et même, ainsi que je le suggérais plus haut, il faudrait se demander, je rejoins par ce biais Laurent James, s'il n'y a pas d'autant plus de complots maintenant qu'il y a de gens qui y croient… A idiot utile, idiot utile et demi !), je ne conteste pas que la passivité de la masse puisse faire d'elle l'allié objectif, pour utiliser une autre tournure typique de la rhétorique stalinienne, de l'Empire : il faut simplement se méfier de la tournure d'esprit qui, sous prétexte de logique, de fermeté, de courage - l'enfer est pavé de bonnes intentions - veut envoyer les imbéciles au Goulag ou au Pal, comme si être imbécile ne suffisait pas, d'un point de vue métaphysique…
- « A idiot utile, idiot utile et demi », viens-je d'écrire : on peut, en constatant les passes d'armes entre MEN et le Libre Penseur sur ce sujet, les renvoyer dos à dos et critiquer chez eux la résurgence du vieil argument sartrien, "Il ne faut pas désespérer Billancourt". Savoir qui on désespère, qui on démotive, en attribuant le 11 septembre aux Arabes ou aux Ricains, est une question totalement secondaire, qui ne fournit que des arguments aisément réversibles. Ce qui, au passage, affaiblit aussi, d'un point de vue politique, la position, critiquable d'un point de vue psychologique, des pourfendeurs des « alliés objectifs ». Quelle que soit la vérité sur le 11 septembre, cela ne change rien aux tendances de fond : les Américains sont des salauds, avec un pouvoir énorme, mais qu'ils sont en train de perdre. Dans quelle mesure vont-ils le perdre et en combien de temps, je ne suis pas devin. Il est sûr qu'ils risqueraient de le perdre plus et plus rapidement s'il venait à être prouvé aux yeux du monde qu'ils sont responsables du 11 septembre. Mais quoi que veuille en croire le Libre Penseur, nous n'en sommes pas là - et cela n'empêche pas, heureusement et comme il le souligne avec raison, la résistance irakienne d'affaiblir l'envahisseur ;
- on remarquera au passage qu'il est d'autant plus regrettable qu'Alain Soral se laisse dominer par ses pulsions staliniennes et manichéennes, qu'il est par ailleurs bienveillant, voire parfois un peu trop, quant aux faiblesses et erreurs des hommes du passé. La
part du diable, sans doute…
- j'en profite pour caser ça, cela fait des mois que je cherche une occasion, que j'ai été frappé de constater que le raisonnement du même Soral vis-à-vis des immigrés est analogue à celui que j'ai utilisé
dès l'ouverture ou presque de mon café au sujet du « conflit israélo-palestinien » : nous n'avons pas créé ni désiré la situation, mais autant essayer de la résoudre aussi pacifiquement que possible, entre gens de bonne volonté…
-…et je conclus sur le sujet. Il se peut que le Libre Penseur et Soral aient raison sur le 11 septembre, et que cela soit un jour prouvé. Rien ne les autorise pourtant, et rien ne les autoriserait rétrospectivement si cela devait être prouvé, à excommunier ceux qui sont en désaccord avec eux. S'il s'avérait qu'ils avaient mieux compris que Nabe ce qui s'est passé ce jour-là, ce serait tout à leur honneur. Mais, des points de vue psychologique et métaphysique - en admettant qu'on puisse les séparer - leur position me semble moins riche, moins humaine, que celle de Nabe, de Laurent James - ou, il est logique de m'y inclure, de bibi.
Il faudrait prolonger du côté du sexe ces réflexions, j'aurai des choses à ajouter à ce qu'écrit Laurent James, peut-être serait-il intéressant de lier la question de la prostitution à tout cela… Je m'arrête là, et, comme chez Brel, "je parle encore de moi", en vous relatant pour finir ce rêve fait il y a deux nuits. Évidemment, vous devez me croire sur parole…
Je me trouvais dans un bus, je suis accosté par une ravissante demoiselle de 25 ans environ, au sourire divin, à la poitrine d'une rondeur fluide. Nous parlons, je sens une relative attirance envers elle, sans grande flamme toutefois. Nous continuons notre chemin, en fiacre maintenant, elle me regarde, toujours avec ce sourire sublime, et me dit qu'elle me croit de gauche. Je ne réponds rien, elle ajoute que, quant à elle, elle est… je conclus en même temps qu'elle : "d'extrême-droite", et lui répond illico "Moi aussi !" : c'est cet accord conceptuel, cette harmonie naissante, qui me donne vraiment envie de l'embrasser, ce qu'elle me laisse faire avec un plaisir aussi évident qu'agréable pour mon
ego…
Sans commentaire !
P.S. : je découvre au moment de mettre sous presse cette
vidéo, mise en ligne sans source par Égalité et Réconciliation. Tout ce qui peut contribuer à nourrir la vérité est bon à prendre, yawohl, mais il ne faut pas non plus tomber dans des simplismes exactement inverses à la
doxa : ce que dit ici Éric Zemmour, s'appuyant sur les livres de Simon Epstein, est vrai, mais est résumé - c'est tout Zemmour : amener les gens à s'intéresser à des faits inattendus, mais en les schématisant parfois à la limite de la contre-vérité - à la truelle. En l'occurrence, que de nombreuses personnalités venues de ou passées par la gauche aient été des collaborateurs est un fait ; que, comme le dit E. Zemmour, leur antisémitisme ait été plus « important » que celui de l'extrême-droite, en est un autre, moins établi - Rebatet, auteur du livre le plus vendu sous l'Occupation, 65000 exemplaires pour
Les décombres, n'avait rien à voir avec la gauche. Simon Epstein, dont s'inspire ici Zemmour, est plus nuancé. Quitte en ce qui le concerne à faire totalement l'impasse sur les juifs collaborateurs : pour Epstein, que j'ai lu avec intérêt, la question ne se pose pas, les Juifs étaient par définition du bon côté. On sait ou l'on devrait savoir que, malheureusement ou pas, les choses ne furent pas si simples. J'y reviendrai j'espère. A simpliste, simpliste et demi…
Libellés : Abellio, Baudelaire, Bernanos, Bloy, Caillois, Dostoïevki, Epstein, Halévy, Laurent James, Libre Penseur, Moi, Nabe, Rassinier, Rebatet, Rioufol, Saint Jean, Sartre, Soral, Voyer, Zemmour